« Les grandes entreprises de France ont décidé de ne pas faire partie des entreprises qui auront disparu dans moins de 10 ans
Nécessaire, mais un équilibre complexe à trouver
Pour un patron, faire référence au « #digital » tient de plus en plus de l’incontournable, voire de l’exercice de style. C’est bon pour l’image. Et rassure aussi actionnaires et investisseurs comme Facebook avec le nombre d’internautes actifs ? Peut-être. Parler de #numérique ne suffit pas néanmoins.
Le coût de l’échec freine-t-il l’engagement ?
70 % des patrons interrogés « admettent un manque évident de compétences digitales » au sein de leur entreprise. Ils sont de plus 93% à juger « que le perfectionnement des compétences des employés sera essentiel au succès de leur entreprise au cours des trois prochaines années. »
Sans l’Humain, plongeon assuré
La banque a notamment lancé deux ans plus tôt, avec la direction générale, un programme de « reverse mentoring ». En raison du succès, le processus a été industrialisé et s’est orienté vers du « digital mentoring ». Le nom du programme : Adopte un mentor. En un mois, 10% des collaborateurs y ont été intégrés.