Plus de décentralisation
Pour l’institut, les conseils régionaux apparaissent « comme la collectivité locale la plus à même de réaliser les arbitrages nécessaires sur la carte » de ces formations, compte tenu « de leurs compétences générales en matière de développement économique, de formation professionnelle continue et par leur proximité avec le monde économique ». Cette « décentralisation » impliquerait le transfert des personnels dédiés des services académiques d’inspection de l’#apprentissage (SAIA). Actuellement logés au sein des rectorats, ces services sont responsables du contrôle pédagogique des formations dispensées en CFA.