« edX comptabilise aujourd’hui 1.200 cours en ligne, 1.000 universités et 10 millions d’utilisateurs », se félicite Anant Agarwal, le directeur général d’edX, avant d’ajouter : « 70 % d’entre eux sont des professionnels diplômés ; 30 % des étudiants. «LES FRANÇAIS, « PETITS ARTISANS D’EDX »
« Nous ne pouvons pas rivaliser avec les grandes universités américaines, qui produisent en masse. Nous sommes les petits artisans d’edX », ironise Benjamin Thierry, vice-président chargé des humanités numériques et des systèmes d’information à l’université Paris-Sorbonne, membre de la Comue.
MINES-TÉLÉCOM EN QUÊTE DE VISIBILITÉ
Membre fondateur de la plate-forme FUN (France université #numérique), l’Institut Mines-Télécom, s’apprête, lui, à faire son entrée sur edX. Le Mooc « #Digital Networks Essentials », en langue anglaise, verra le jour en janvier 2017. Par ailleurs, l’Institut propose une vingtaine de cours en ligne sur FUN et Coursera.
Dans la concurrence effrénée que se livrent les plates-formes de #Mooc, edX fait partie des leaders. À l’occasion du edX Global Forum à Sorbonne Universités cette semaine, l’Institut Mines-Télécom et l’université Paris-Sorbonne expliquent l’attrait de la plate-forme, lancée en 2012 par Harvard et le MIT.