Résumé des deux parties précédentes :
Des clients nous ont demandé de former leur service formation à l’ingénierie pédagogique en 2 jours afin qu’ils soient capables, à l’avenir, de se passer de nous puisqu’ils disposeraient en interne d’un Sydo miniature. Maintenant que j’y pense, le choix de répondre positivement à une telle demande était commercialement discutable. Mais qu’à cela ne tienne : envers et contre toute considération pécuniaire, au simple nom de la pédagogie, nous avons accepté.
Notre stratégie ?
1 – Faire auditer une formation fictive à nos apprenants.
2 – Les accompagner dans la conception.
3 – Leur faire confronter leurs propositions.
La peau de l’ours
La phase 1 s’est déroulée sans accrocs.
C’est lorsqu’on a abordé la 2ème phase que la mécanique s’est enrayée.
Nos documents fantaisistes mettaient les formés face à un contenu qu’ils devaient s’approprier (comme dans leur position d’ingénieurs pédagogiques) et constituaient une invitation à ajouter les éléments fictifs dont ils auraient besoin une fois les objectifs définis. Et au moment où, une fois nos attentes formulées et les documents fournis aux participants, nous leur avons demandé s’ils avaient tout compris et s’ils étaient prêts à commencer, une voix s’est élevée parmi notre auditoire : « non ».
Diantre, ça se corsait.
A suivre… bientôt !
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Repéré depuis http://sydologie.com/2022/02/la-super-formation-partie-3-4/
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