Jusqu’où pourra-t-on mutualiser la formation au numérique ?, Profils – Les Echos Business
Publié le : lun 16 mai 2016Views: 1606

Publié dans : Méthodes et organisation

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Lors d’une conférence organisée par le Medef, le fondateur d’une plate-forme de Mooc pour entreprises a évoqué l’idée de créer du contenu de formation au numérique pour l’ensemble d’une branche d’activité

Dématérialisation puis mutualisation de la formation

Jean-Marc Tassetto participai à un débat intitulé « Former pour transformer les modèles ». Son idée d’une mutualisation des formations a de quoi séduire. Le a déjà permis aux entreprises de diminuer considérablement leurs dépenses allouées à la continue de leurs salariés. Logiquement, la mutualisation pourrait bien encore réduire les frais. En effet, dans la conception de ces contenus pédagogiques, le plus onéreux est la partie réalisation des vidéos. Ce coût est fixe. Les entreprises ont tout intérêt à le partagé à l’échelle d’une branche, de centaine d’employeurs et de millier de salariés.

Quand la formation numérique prépare l’enseignement en présentiel

Mais attention : n’allez pas lui dire que son modèle va tuer la formation traditionnelle avec enseignant humain dans une pièce. Jean-Marc Tasseto ni voit ni intérêt pour son business, ni pour la qualité de la formation délivrée aux employés ciblés. Et il n’est pas le seul à le penser. Benjamin Chouraqui, la trentaine, est cofondateur de Pitchy, une startup qui propose aux entreprises un service clefs en main pour créer leurs propres vidéos de formation. Pour lui, comme dit le dicton, «une image vaut mille mots», mais la vidéo peut aussi être un premier moyen d’accrocher l’intérêt du salarié, avant de lui «proposer quelque chose en présentiel».

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