La France a toujours peur d’utiliser le numérique dans la formation professionnelle, plateformes collaboratives, learning expeditions, fablabs – Nrj-active.fr
Publié le : lun 05 juin 2017Views: 1746

Publié dans : Méthodes et organisation

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Les acteurs français de la #formation professionnelle doivent s’adapter rapidement à leurs confrères européens. C’est en tout cas ce que recommande une étude du cabinet Roland Berger, qui pointe du doigt une véritable « disruption digitale ». A quel point la France est-elle en retard sur les autres pays, et quelles solutions sont possible ?

DES INNOVATIONS (PAS TOUTES) TECHNOLOGIQUES POUR LA FORMATION PROFESSIONNELLE

La formation professionnelle se diversifie. Le #numérique permet à l’apprenant d’assimiler la théorie chez lui pour une mise en pratique en formation. Des groupes de formations professionnelles se créent autour de plateformes collaboratives, complétées par différentes équipes qui mettent leurs idées en commun. Sans oublier la #réalité virtuelle, convoquée par quelques formations pour apprendre la pratique en douceur. Cependant, on note aussi des évolutions notables dans le domaine de la formation, qui ne sont pas forcément technologiques.

VERS UNE FORMATION PLUS ACCESSIBLE ET LUDIQUE ?

L’étude de Roland Berger relève « quatre leviers de croissance et de performance opérationnelle » dans le domaine de la formation. Le premier serait de viser une audience plus large grâce au #digital (notamment avec le #e-learning et le télé-#apprentissage), permettant des formations à moindre coût. Le second levier serait la création de plateformes numériques, qui permettraient aux formateurs de gérer l’ensemble de leurs cours en ligne. Le troisième serait d’adapter les programmes d’apprentissage numériques et d’analyser les données des apprenants, afin de limiter le décrochage et de renouveler leur motivation. Un point qu’il faut nuancer, en prenant en compte la protection des données et de la vie privée de chacun. Quatrième levier : proposer des formats et des contenus différents, et plus adaptés. Mais leur mise en place est coûteuse, et les publics qu’elles visent doivent être familiers du digital.

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