A l’occasion d’un atelier organisé le 22 novembre, les intervenants ont insisté sur les nouveaux modes de #formation mis en place, plus « collaboratifs » ainsi que les défis à relever par les éleveurs demain, pour répondre aux attentes sociétales.
Devenir « acteur » de la formation
Aujourd’hui, la formation a évolué vers des modèles plus « participatifs » avec comme objectif : partir des attentes des exploitants afin de « co-construire » des systèmes pour demain. Anne Aupiais, formatrice à l’institut de l’élevage précise « avant les formations étaient descendantes
Se former et après ?
Bruno Gourdon, qui a participé à près de 200 heures de formation par an, pendant 3 ans tant sur le fonctionnement de l’animal que sur les techniques alternatives de production. Il met « un bémol sur la formation